Umberto Berzotti, Sermon des Héros: Extraits
2 participants
Page 1 sur 1
Umberto Berzotti, Sermon des Héros: Extraits
"L'homme impérial qui se munit de son arme n'est pas prudent! On dit plutôt qu'il est fidèle et démontre l'amour de son empire par la volonté d'embrasser le combat s'il devait survenir. Le port de l'arme pour soi, pour sa famille et pour la patrie est un geste vertueux." Du Sermon des héros
"La loyauté, vertu que l'homme possède à sa naissance, lui sera constamment récompensée par Zarus. Que l'homme s'en honore! Chacun a sa place, et sa loyauté sera récompensée à travers toutes les étapes de sa vie! Il survivra les guerres, comme sa femme l'accouchement, ses enfants connaîtront la santé et la longévité. L'homme dont la loyauté est chambranlante, Zarus foudroiera sans hésitation." Umberto Berzotti, sermon des héros
"À travers la mort, Zarus est mon guide, et la lumière vers laquelle je marche, à travers montagnes, marais et tortures, vers les anges que mon père aime tant." Umberto Berzotti en disait tant dans les sermons des héros
"Cela, en tant que dignes impériaux de sang pur, ne peut nous être retiré. Notre corps, et notre esprit auront le dessus sur quiconque nous voudra le mal. Voilà en quoi nous sommes et pouvons être supérieurs. Soyons-le, et dignement." Umberto Berzotti, du sermon des héros.
"Voilà que Zarus guide ma main, gens de peu de vertu! Voyez que la lumière sur ma lame atteint vos coeurs et pourfend votre vilénie! Zarus vous attendra, fer rouge en main, vos visages rougissant de honte en cible! Repentez-vous et faites juste vie, et vous vous épargnerez mon ire, ainsi que la sienne!" Sermon des héros
"La loyauté, vertu que l'homme possède à sa naissance, lui sera constamment récompensée par Zarus. Que l'homme s'en honore! Chacun a sa place, et sa loyauté sera récompensée à travers toutes les étapes de sa vie! Il survivra les guerres, comme sa femme l'accouchement, ses enfants connaîtront la santé et la longévité. L'homme dont la loyauté est chambranlante, Zarus foudroiera sans hésitation." Sermon des héros
"La loyauté, vertu que l'homme possède à sa naissance, lui sera constamment récompensée par Zarus. Que l'homme s'en honore! Chacun a sa place, et sa loyauté sera récompensée à travers toutes les étapes de sa vie! Il survivra les guerres, comme sa femme l'accouchement, ses enfants connaîtront la santé et la longévité. L'homme dont la loyauté est chambranlante, Zarus foudroiera sans hésitation." Umberto Berzotti, sermon des héros
"À travers la mort, Zarus est mon guide, et la lumière vers laquelle je marche, à travers montagnes, marais et tortures, vers les anges que mon père aime tant." Umberto Berzotti en disait tant dans les sermons des héros
"Cela, en tant que dignes impériaux de sang pur, ne peut nous être retiré. Notre corps, et notre esprit auront le dessus sur quiconque nous voudra le mal. Voilà en quoi nous sommes et pouvons être supérieurs. Soyons-le, et dignement." Umberto Berzotti, du sermon des héros.
"Voilà que Zarus guide ma main, gens de peu de vertu! Voyez que la lumière sur ma lame atteint vos coeurs et pourfend votre vilénie! Zarus vous attendra, fer rouge en main, vos visages rougissant de honte en cible! Repentez-vous et faites juste vie, et vous vous épargnerez mon ire, ainsi que la sienne!" Sermon des héros
"La loyauté, vertu que l'homme possède à sa naissance, lui sera constamment récompensée par Zarus. Que l'homme s'en honore! Chacun a sa place, et sa loyauté sera récompensée à travers toutes les étapes de sa vie! Il survivra les guerres, comme sa femme l'accouchement, ses enfants connaîtront la santé et la longévité. L'homme dont la loyauté est chambranlante, Zarus foudroiera sans hésitation." Sermon des héros
Re: Umberto Berzotti, Sermon des Héros: Extraits
Le célèbre Vous qui souffrez d'Umberto Berzotti.
"Vous qui souffrez. Vous qui dites rien n'avoir au monde. À genoux, devant vos faux prétextes! Qui donc, s'avoue avoir davantage souffert que son frère, alors que tous, êtes devant Zarus, à prouver par la force des épreuves qu'il vous envoie, que vous êtes bien ses fils! Forts, beaux, fiers et capables, comme il l'a fait, devant la jalousie des sous-races lors de l'absorbtion du poison! Qui refuse les épreuves du Père refuse renie le sang qui coule dans ses veines, et que celui-là, de par la volonté de ses frères, *la douleur lui soit infligée par l'incarcération, le rouage et le petit feu*!
Pour l'incarcération, ainsi procédez: qu'il soit incarcéré, dans une prison de pierre, mis à l'abri des gens valeureux, nu, nourri de pain sec, et de vieille eau. La lumière point ne doit le toucher du moment de son incarcération jusqu'à 21 jours après l'hiver. Qu'il ait suffisamment froid pour ne plus sentir le bout de ses doigts, mais qu'il soit gardé en vie pour qu'au printemps, Zarus lui inflige justice.
Pour le rouage, ainsi procédez: qu'il soit attaché à la roue, bras et jambe écartés à distance égale, que ceux-ci forment une étoile. D'une barre de fer creuse, dans laquelle aura été versée un quantité de mercure pour léguer la potence de Zarus au coup, on cassera chacune des deux jambes et chacun des deux bras du roué. Celui qui a la bonne technique brise ces membres d'un seul coup, roidement. Que le saint vinaigre rouge du condamné lui soit donné à boire.
Pour le petit feu, procédez ainsi: jamais ne faites de grand feu! Le condamné meurt étouffé avant d'avoir senti les flammes lécher ses bottes. Il convient de faire un feu de bois d'un mètre de diamètre, et d'y plonger progressivement le condamné par les pieds. On frappera, à mesure qu'il soit carbonisé à noir, sur les orteils, les pieds, les mollets, les tibias, les genoux, les basses-cuisses, les hautes-cuisses, et trois fois le bassin. Chacun des morceaux frappés se brisera et tombera en poudre. La mise à mort doit être terminée même si le condamné ne survit pas à tout le procédé.
C'est ainsi que par Zarus et pour Zarus, l'homme, à sa mort, est purifié."
"Vous qui souffrez. Vous qui dites rien n'avoir au monde. À genoux, devant vos faux prétextes! Qui donc, s'avoue avoir davantage souffert que son frère, alors que tous, êtes devant Zarus, à prouver par la force des épreuves qu'il vous envoie, que vous êtes bien ses fils! Forts, beaux, fiers et capables, comme il l'a fait, devant la jalousie des sous-races lors de l'absorbtion du poison! Qui refuse les épreuves du Père refuse renie le sang qui coule dans ses veines, et que celui-là, de par la volonté de ses frères, *la douleur lui soit infligée par l'incarcération, le rouage et le petit feu*!
Pour l'incarcération, ainsi procédez: qu'il soit incarcéré, dans une prison de pierre, mis à l'abri des gens valeureux, nu, nourri de pain sec, et de vieille eau. La lumière point ne doit le toucher du moment de son incarcération jusqu'à 21 jours après l'hiver. Qu'il ait suffisamment froid pour ne plus sentir le bout de ses doigts, mais qu'il soit gardé en vie pour qu'au printemps, Zarus lui inflige justice.
Pour le rouage, ainsi procédez: qu'il soit attaché à la roue, bras et jambe écartés à distance égale, que ceux-ci forment une étoile. D'une barre de fer creuse, dans laquelle aura été versée un quantité de mercure pour léguer la potence de Zarus au coup, on cassera chacune des deux jambes et chacun des deux bras du roué. Celui qui a la bonne technique brise ces membres d'un seul coup, roidement. Que le saint vinaigre rouge du condamné lui soit donné à boire.
Pour le petit feu, procédez ainsi: jamais ne faites de grand feu! Le condamné meurt étouffé avant d'avoir senti les flammes lécher ses bottes. Il convient de faire un feu de bois d'un mètre de diamètre, et d'y plonger progressivement le condamné par les pieds. On frappera, à mesure qu'il soit carbonisé à noir, sur les orteils, les pieds, les mollets, les tibias, les genoux, les basses-cuisses, les hautes-cuisses, et trois fois le bassin. Chacun des morceaux frappés se brisera et tombera en poudre. La mise à mort doit être terminée même si le condamné ne survit pas à tout le procédé.
C'est ainsi que par Zarus et pour Zarus, l'homme, à sa mort, est purifié."
"[...]la douleur lui soit infligée par l'incarcération, le rouage et le petit feu [...]": cette méthode est la méthode préférée, et très récurrente de punition par la mort d'Umberto Berzotti. Cette phrase elle-même n'est jamais altérée lorsqu'il y fait référence vu qu'il s'agit d'un procédé de purification rigoureux. Ainsi, toutes les fois où il y fait référence, il répète toujours la méthode en entier, ce qui fait que lorsqu'on veut être fidèle à ses paroles, on doit répéter toute la méthode.
Dernière édition par Mouquet de Chaubeuil le Mar 9 Aoû - 10:00, édité 1 fois
Mouquet de Chaubeuil- Messages : 4083
Date d'inscription : 29/06/2010
Age : 39
Localisation : La Bretagne.
Re: Umberto Berzotti, Sermon des Héros: Extraits
Mon Père m'en soit témoin, que je meure, à genoux, en silence, dans la honte, à la pointe de son arme si point ne lui suis fidèle.
-Umberto Berzotti, "Sermont des héros", phrase introductive.
-Umberto Berzotti, "Sermont des héros", phrase introductive.
Mouquet de Chaubeuil- Messages : 4083
Date d'inscription : 29/06/2010
Age : 39
Localisation : La Bretagne.
Re: Umberto Berzotti, Sermon des Héros: Extraits
"Les hommes de vertu, épée à la main, montreront les pas à suivre qui sont les miens, et sauront, par rigueur et nécessité, trancher ces aveugles qui mes paroles méprisent par leur ignorance de Moi."
Mouquet de Chaubeuil- Messages : 4083
Date d'inscription : 29/06/2010
Age : 39
Localisation : La Bretagne.
Sujets similaires
» Umberto Berzotti, Sermont pour les convertis: extraits
» Umberto Berzotti, Sermont du pain des pauvres: extraits
» Umberto Berzotti, Justes paroles aux tranchants destinés à l'hérétique: extraits
» Umberto Berzotti, De ce que l'on fait, dit et pense. Ou: Le paysan, le bourgeois et le héro.
» Umberto Berzotti, Sermont du pain des pauvres: extraits
» Umberto Berzotti, Justes paroles aux tranchants destinés à l'hérétique: extraits
» Umberto Berzotti, De ce que l'on fait, dit et pense. Ou: Le paysan, le bourgeois et le héro.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|